Freedom House note, sur sa page Facebook, avec grande inquiétude, la première condamnation pénale d’un citoyen arménien en vertu de la nouvelle disposition du Code pénal criminalisant les « insultes graves » contre des responsables gouvernementaux.
« L’application de cette législation, qui a entraîné l’ouverture de plus de 260 affaires pénales rien qu’en 2022, signifie une nette dégradation des normes démocratiques en Arménie et crée un effet dissuasif sur la liberté d’expression. Nous appelons le Parlement à révoquer cette loi qui viole de manière si flagrante les principes inscrits dans la Constitution arménienne, les engagements du pays auprès de l’OSCE et la Convention européenne des droits de l’homme qu’il a signés. »