L’Azerbaïdjan a, une nouvelle fois, violé les droits de la personne et des libertés fondamentales au niveau de l’Etat en entravant le droit des journalistes européens à la libre circulation et la libre expression, selon la déclaration diffusée par l’« Ami européen d’Arménie » (EuFoA).
Selon la déclaration, ce qui est non seulement devenu une pratique habituelle pour l’Azerbaïdjan, mais s’est transformé en vantardise dans les médias. Cette fois, le porte-parole de l’Azerbaïdjan a annoncé que la journaliste Moldave de TV7 Lyuba Maksim a été limogée en mai pour s’être rendue au Karabagh et avoir préparé un article sur la situation dans l’enclave arménienne.
L’ONG basée à Bruxelles, l’« Ami européen d’Arménie » (EuFoA), a exprimé sa profonde préoccupation en rapport avec l’incident, exhortant les organisations internationales des droits de la personne à prendre les mesures appropriées.
Les représentants de l’organisme ont également fourni certaines explications sur l’incident. Selon eux, la journaliste Moldave Lyuba Maksim est arrivée au Karabagh avec un opérateur, à l’invitation de l’EuFoA, en accord avec l’administration de la société de télévision. Mais maintenant l’EuFoA est préoccupé par le fait que l’administration de TV7, qui connaissait le lieu et le but de la visite de la journaliste, ait licencié ses travailleurs, en réponse au régime criminel de l’Azerbaïdjan, compromettant ainsi le niveau de liberté de la presse en Moldavie.
« Ainsi, l’Azerbaïdjan tente encore une fois de limiter les tentatives de présenter de l’information sur le Karabagh au niveau international, cherchant à semer la peur parmi les journalistes moldaves et étrangers, excluant ainsi leurs futures visites au Karabagh. »
EuFoA va présenter cet incident devant les plateformes internationales et à l’Organisation des droits de la personne afin de rétablir les droits violés de la journaliste et imposer des sanctions au régime criminel d’Azerbaïdjan.