Selon Daniel Coats, directeur du renseignement national des États-Unis, l’éventualité d’une reprise des hostilités à grande échelle au Haut-Karabagh demeure possible en 2017.
« Des tensions entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan quant à la région séparatiste du Haut-Karabagh ont éclaté en avril 2016 et la réticence des deux parties à se compromettre, et accroître les pressions intérieures suggère que le potentiel d’hostilités à grande échelle demeure en vigueur pour 2017. En Azerbaïdjan, les difficultés économiques en cours sont susceptibles de narguer le régime et d’augmenter sa tendance à réprimer la dissidence afin de se maintenir au pouvoir alors qu’il tente d’équilibrer les relations avec la Russie, l’Iran et l’Occident », indique le communiqué.