Gagik Grigorian, premier vice-ministre des transports, des technologies de l’information et des communications d’Arménie, a déclaré que l’objectif principal de la Convention sur la signalisation routière est de faciliter le trafic international et d’accroître le niveau de sécurité routière. La Convention définit un système unique de signalisation et de signalisation.
Selon lui, en adhérant à cette convention, l’Arménie devra adopter le système de signalisation routière prévu par cet accord et le mettre en service le plus rapidement possible.
À toutes fins utiles, il s’agit d’une transition entre le système de signalisation routière de l’ex-Union soviétique et un système de signalisation routière plus moderne et internationalement accepté.
L’Azerbaïdjan a adhéré à la Convention avec des réserves notant qu’il lui était impossible d’appliquer les exigences de la convention dans les zones « occupées » par l’Arménie.
Et l’Arménie, pour sa part, a objecté que l’Azerbaïdjan déforme délibérément l’essence du conflit du Haut-Karabagh et qu’il a occupé certains territoires à la suite d’une agression militaire à grande échelle.